Journal de la Medecine Homoeopathique, 1847, Vol. 3 (Classic Reprint)

Excerpt from Journal de la Médecine Homoeopathique, 1847, Vol. 3Est - cc à dire, pour cela, que nous prétendîons tracer à la liberté de discussion des limites arbitraires, et qu'il faille absolument se rattacher à telle opinion sur tel point de doc trine ou de pratique, sous peine d'être taxé par nous d'hé résie? Nos lecteurs ont pu juger si la Société a jamais affiché pareille prétention. Respect pour les principes, liberté d'exa men pleine et entière pour tout ce qui peut être discuté sans y porter atteinte telle a toujours été, telle sera toujours notre devise.Rallier à l'homoeopatbie le plus grand nombre possible des médecins qui s'en sont éloignés jusqu'à ce jour, est, à coup sûr, le meilleur moyen d'en répandre les bienfaits mais nous ne pensons pas que toutes les voies pour y parvenir soient également bonnes, ou plutôt, nous croyons qu'il n'en est qu'une, et nous avons dû la choisir. Les concessions qui pour raient él re offertes à l'ancienne école aux dépens des princi pes qui feront à jamais la gloire du fondateur de la nôtre; les tentatives qui pourraient être faites, avec plus ou moins de bonne foi ou de désintéressement, pour cpérer entre elles une fusion impossible, loin de nous conduire à ce but si désirable, n'auraient pour résultat que de nous faire_retomber dans le chaos d'où nous a si heureusement tirés l'homme de génie dont nous nous honorons d'être les disciples. Ces moyens nous les répreuvons...